Les Citoyennes contre la corruption s’invite au débat des chefs
20 SEPTEMBRE 2018
Les Adèles à Québec pour nettoyer la corruption
17 JUIN 2018
Le pillage d’Hydro-Québec, mode d’emploi :
1 – La privatisation des filières énergétiques d’Hydro-Québec ;
1.1 – La filière à gaz ;
1.2 – La filière éolienne ;
2 – La prise de contrôle d’Hydro-Québec par le régime libéral.
En privatisant la filière gaz, sous prétexte que le Québec allait manquer d’électricité en 2006, la construction en urgence d’une douzaine de centrales privées étaient prévues par Hydro-Québec. L’opposition citoyenne menée à l’époque par Daniel Breton à la centrale du Suroît a fait dérailler les projets planifiés. C’est pourquoi la centrale de Bécancour est la seule qui fut construite sur les 12 centrales prévues. À cause de cette centrale, Hydro-Québec sera néanmoins saigné de plus de 2 milliards de $ à la fin d’un contrat à long terme signé avec TransCanada Energy. Imaginez si Hydro-Québec avait construit les 12 centrales au gaz prévues avec des contrats signés à ces conditions avec le privé.
Par la suite, Hydro-Québec s’est lancé dans des filières écologiques, dont la privatisation de la filière éolienne va mener à d’autres pertes de milliards de $.
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Le C.A. d’Hydro appuie le Suroît
La haute direction d’Hydro-Québec recevra un appui de taille ce matin. Les membres du conseil d’administration de la société d’État réunis dans la métropole devraient renouveler leur profession de foi envers le très controversé projet de centrale au gaz naturel du Suroît. « Sur la question du Suroît, c’est indéniable, nous avons un conseil super solidaire, a confié hier un membre sous le couvert de l’anonymat. Pour nous, ce projet est essentiel si l’on ne veut pas manquer de courant au cours des prochaines années. ».
Construite au coût de 550 millions $ à Beauharnois, la centrale de 800 mégawatts (MW) sera sous la responsabilité de General Electric. Hydro-Québec Production assumera l’achat du gaz naturel nécessaire à la centrale de même que la vente de l’électricité sur les marchés.Un virage au gaz naturel plus que nécessaire en raison du lourd déficit énergétique qui se pointe à l’horizon. Les données d’Hydro montrent que la province fera face à un déficit énergétique de 3,5 térawattheures (TWh) dès 2006…
[…] le projet du Suroît ne plaît pas à tout le monde. Mais nous n’avons pas le choix, nous devons faire face à la réalité. Et si rien n’est fait, on va être obligé d’importer de l’électricité à fort prix au cours des prochains hivers. Personne ne veut cela », a ajouté le membre du c.a.Un énorme «non» à la centrale du Suroît
Des milliers de personnes ont manifesté hier à Montréal
Des milliers de manifestants chaudement habillés sont descendus dans la rue hier à Montréal pour montrer leur opposition au projet de centrale thermique du Suroît. D’autres actions sont prévues dans les prochains jours.
Le Suroît: Charest recule. La Régie de l’énergie a 60 jours pour réexaminer le dossier
Cédant à la pression populaire mais secoué aussi par la grogne au sein du caucus des députés libéraux, le gouvernement Charest a annoncé hier qu’il donnait le mandat à la Régie de l’énergie de vérifier si Hydro-Québec a raison d’affirmer qu’il y aura un déficit énergétique au Québec de 2007 à 2010, la seule justification officiellement avancée par la société d’État pour construire une centrale au gaz naturel de 800 MW à Beauharnois.
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Centrale de Bécancour : une note de plus en plus salée pour Hydro
La centrale appartient à Trans-Canada Energy qui a conclu un contrat de 20 ans avec Hydro-Québec. Elle n’a pour ainsi dire jamais fonctionné en raison des surplus qui s’accumulent chez Hydro-Québec. La production de la centrale est suspendue depuis 2008, ce qui a déjà coûté environ 1 milliard de dollars à la société d’État.
Hydro doit verser à TransCanada Energy la même somme que si elle prenait livraison de l’électricité produite. Une partie de cette compensation est fixe et représente le coût du capital, soit 125 millions par année….L’autre partie est liée au prix du gaz et tourne autour de 50 millions par année.
Hydro-Québec prévoit être en situation de surplus jusqu’en 2020. Cela veut dire qu’elle pourrait être obligée de payer 200 millions par année pendant encore neuf ans, soit 1,8 milliard de plus, pour suspendre la production de la centrale de Bécancour.
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HYDRO-QUÉBEC : un contrat coûteux. Des pénalités d’un milliard $ auraient pu être évitées
La signature en août 2003 d’un contrat avec une compagnie énergétique albertaine qui a déjà coûté près d’un milliard de dollars aux clients d’Hydro-Québec, aurait pu être évitée au profit d’une initiative beaucoup plus économique, montrent des documents obtenus par le Journal de Montréal et TVA Nouvelles
Une étude de faisabilité effectuée en 1999 par SNC-Lavalin pour le compte de la division Énergie d’Hydro-Québec révèle en effet que la société d’État a écarté à cette époque le scénario d’une simple transformation de sa centrale de turbines à gaz de Bécancour, un projet qui aurait coûté la relativement modeste somme de 129 millions.
Devant ce qu’elle percevait comme une pénurie imminente d’énergie, Hydro a plutôt préféré se lier par un coûteux contrat à la compagnie TransCanada Energy. Ce contrat prévoyait la construction d’une autre centrale à gaz toute neuve à Bécancour, qu’Hydro s’engageait à acquérir. Tout cela alors qu’à quelques kilomètres de là, dans le parc industriel de Bécancour, existait déjà une centrale d’appoint de turbines à gaz facile à convertir
Comble d’ironie, la centrale de la compagnie albertaine, une fois construite en 2006 n’a produit de l’énergie que pendant quelques mois. Aux prises avec des surplus d’électricité et avec une faible demande, Hydro-Québec a finalement suspendu les livraisons d’électricité de cette centrale au gaz et les consommateurs québécois d’électricité, qu’il s’agisse de consommateurs résidentiels ou industriels, ont hérité de l’ardoise. D’ici la fin du contrat de 20 ans en 2026, un autre milliard pourrait s’ajouter au premier milliard de pénalités payées jusqu’ici.
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CENTRALE DE BÉCANCOUR. La Régie invalide l’entente entre Hydro-Québec et TransCanada
La Régie de l’énergie fait volte-face et invalide l’entente conclue entre Hydro-Québec et TransCanada Energy (TCE) concernant l’utilisation de la centrale au gaz naturel de Bécancour lors des périodes de pointe, parce que la société d’État n’a pas eu recours au processus d’appel d’offres.
Centrale inutilisée
La centrale au gaz naturel de Bécancour a produit de l’énergie pour Hydro-Québec de septembre 2006 à décembre 2007. Elle n’est plus utilisée depuis, en raison des surplus d’énergie de la société d’État, mais en vertu d’un contrat s’échelonnant jusqu’en 2026, Hydro-Québec devra malgré tout verser des dizaines de millions de dollars chaque année à TCE en pénalités.
La nouvelle entente 2016-2036 devait se superposer à l’entente déjà en vigueur. Elle prévoyait le versement de 389 millions sur 20 ans à TCE et à Gaz Métro…
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Hydro: finis les profits records. La société d’État s’engage sur une voie écologique
M. Vandal a confirmé la nouvelle orientation d’Hydro-Québec qui abandonne tout développement de la filière thermique. La société d’État se consacrera à trois axes majeurs: l’efficacité énergétique, l’hydroélectricité et l’éolien ainsi que les nouvelles technologies électriques, y compris le solaire et la géothermie. La société d’État s’engage sur une voie qu’elle rejetait jusqu’à tout récemment et qui lui était suggérée depuis des années par les groupes écologistes. «Pour Hydro-Québec, la page du thermique est tournée, et on n’a pas l’intention d’y revenir», a dit M.Vandal. «Le défi que l’on va relever, c’est de mettre en place toutes les conditions pour approvisionner le marché du Québec avec de l’énergie renouvelable», a-t-il tranché.
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Entre 4 et 5 milliards de pertes. «Fiasco majeur» chez Hydro-Québec
« Les erreurs d’évaluation des besoins énergétiques du Québec coûteront cher aux contribuables. Selon l’Union des consommateurs, Hydro-Québec achètera près de 4,5 milliards $ d’énergie en cours des 10 prochaines années alors même que la société d’État est en surproduction et exporte à perte aux États-Unis. »
L’exemple de l’entreprise Trans-Canada Energy, qui reçoit près de 200 millions $ par année de fonds publics pour ne pas produire d’électricité, avait mis le gouvernement libéral dans l’embarras ce printemps.
« À elle seule, la suspension des livraisons de Trans-Canada Energy au cours des 5 dernières années a déjà entraîné des coûts de près de 1 G$ que les clients québécois de HQ ont épongés à même leur facture d’électricité », explique M. Blain. « Mais ce n’est que la pointe de l’iceberg », prévient-il.
« Hydro-Québec n’est que l’exécutant et la Régie de l’énergie n’a pas vraiment son mot à dire, c’est le gouvernement qui décide », dénonce ce dernier.
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Hydro-Québec – De l’électricité achetée en pure perte
La société d’État s’est faite complice du PLQ en multipliant les contrats d’approvisionnement auprès du secteur privé, accuse J.-F. Blain
Les clients québécois d’Hydro-Québec devront régler « dans le pire des scénarios » une facture de quelque 4,5 milliards de dollars, soit « les deux tiers de la valeur de 7,4 milliards de ces approvisionnements excédentaires qui vont se retrouver en coûts échoués ».
Bloc additionnel de 450 mégawatts à l’industrie éolienne
Pour les décennies 2011-2020 et 2021-2030, la division Distribution d’Hydro-Québec a, jusqu’à présent, pris des engagements d’achats à long terme auprès de producteurs privés d’une valeur cumulative d’environ 40 G$.
(L’auteur est analyste du secteur de l’énergie)
Thierry Vandal attribue les surplus d’Hydro à des décisions politiques
Le président-directeur général d’Hydro-Québec, Thierry Vandal, a attribué les surplus d’électricité de la société d’État à des décisions politiques qui l’obligent à acheter la production d’entreprises ou de communautés.
En commission parlementaire, mardi, M. Vandal a affirmé que les surplus anticipés pour la période 2013-2020 s’élèvent à 21,4 milliards de kWh.
Selon le pdg de la société d’État, les décrets et programmes gouvernementaux utilisés par les libéraux pour promouvoir l’énergie éolienne, la biomasse et les petites centrales hydrauliques ont ajouté 24 milliards de kWh pour la même période.
M. Vandal a soutenu que sans ces décisions gouvernementales, Hydro-Québec aurait respecté ses cibles de consommation.
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Les finances publiques et la filière éolienne
Le coût total des nouveaux projets éoliens — lorsqu’on inclut l’intégration au réseau, le transport et la distribution — avoisine les 14 ¢ par kilowatt-heure effectivement vendu, selon les calculs que nous avons effectués à l’IEDM, alors que le prix de vente se situe à environ 5,8 ¢! Tout ça dans un contexte où Hydro-Québec est en situation de surplus d’énergie. Cela signifie que chaque fois qu’Hydro-Québec achète un kilowatt-heure éolien, la société d’État y perd plus de 8 ¢. Et comme le gouvernement la contraint à acheter toute la production, les coûts d’exploitation d’Hydro-Québec augmentent et sont refilés à tous les consommateurs d’électricité , c’est-à-dire vous et moi.
Tout comme nous, le journaliste Francis Vailles s’est demandé combien d’argent les Québécois perdent avec les énormes surplus d’électricité d’Hydro-Québec, il y a quelques semaines. Il arrive à des résultats similaires. Selon lui, depuis le milieu des années 2000, les surplus d’Hydro-Québec, engendrés notamment par les éoliennes, ont coûté 4 milliards aux consommateurs québécois. D’ici 8 ans, ce sera le double. Autrement dit, écrit-il, les consommateurs québécois paieront entre 680 millions et 1,2 milliard par année d’ici 2021 pour acheter la coûteuse énergie des éoliennes plutôt qu’en misant sur la grande quantité d’électricité disponible à bon prix. Un résultat très proche du nôtre.
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Augmentation des tarifs d’Hydro-Québec – Le premier ministre brise une nouvelle promesse
[…]la hausse annoncée par la Régie de l’énergie résulte d’abord et avant tout de la mauvaise gestion libérale des projets éoliens octroyés sous Jean Charest, dont l’un à un prix faramineux de 11,1 cents/kWh. « En comparaison, le dernier appel d’offres lancé par le gouvernement du Parti Québécois s’est conclu à 6,3 cents/kWh, démontrant ainsi la compétitivité de l’énergie éolienne par rapport aux nouveaux projets hydroélectriques, y compris La Romaine », a conclu le député de Marie-Victorin [Bernard Drainville].ouvrir
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10,2 milliards $ payés en trop à cause des énergies alternatives
Les clients d’Hydro-Québec paieront près de 10,2 milliards $ en surcoût tarifaire d’ici 2026 en raison de contrats à long terme d’achat d’électricité éolienne, biomasse et autres énergies alternatives, selon une projection effectuée par Le Journal.
« Les gouvernements ont utilisé le secteur énergétique comme un outil de développement économique avec des conséquences catastrophiques pour les consommateurs, pour satisfaire des motivations politiques », déplore l’analyste en énergie Jean-François Blain.
« On ne peut pas faire pire »
Hydro-Québec se retrouve aujourd’hui avec des surplus énergétiques alors qu’elle est forcée d’acheter de l’énergie plus coûteuse, qu’elle refile à ses clients.
« Si on voulait disqualifier l’interventionnisme de l’État dans l’économie, cet exemple est parfait. On ne peut pas faire pire », ajoute-t-il. […]
« C’est une subvention de développement économique qu’on fait payer aux clients d’Hydro-Québec », note M. Mousseau, professeur à l’Université de Montréal et directeur de l’Institut de l’énergie Trottier.
M. Mousseau souligne que cette somme de 10 milliards $ n’a pas disparu en fumée : elle se retrouve dans les poches des producteurs privés […]
► 10,2 milliards $, c’est environ…
- 1,3 fois la rémunération annuelle des médecins
- 4,4 fois le montant des rénovations dans les écoles en 2018-2019
- 2,27 pipelines Trans Mountain achetés à Kinder Morgan
- 2,27 ponts Champlain
- 27 Centres Vidéotron
- 3 systèmes de transport structurant à Québec
► Les calculs du Journal
- Nous avons calculé la différence entre les coûts de l’énergie provenant des blocs patrimoniaux (soit les vieux barrages hydroélectriques) et post-patrimoniaux (principalement l’éolien et la biomasse). Ce montant, ajusté annuellement en fonction de l’inflation et de la hausse prévue aux contrats d’approvisionnement, a ensuite été multiplié par l’énergie en surplus projetée par le vérificateur général.
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Nominations du Conseil des ministres
Le Conseil des ministres a procédé aux nominations suivantes à sa séance d’aujourd’hui.
[…] Hydro-Québec […] et Michel Plessis-Bélair sont nommés membres du conseil d’administration de cette société.ouvrir
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Thierry Vandal succède à André Caillé
[…] Du reste, M. Vandal est considéré comme un proche du Parti libéral, ayant dirigé la commission politique du PLQ sous le leadership de Robert Bourassa. Il est également un ancien de Gaz Métro, comme le chef de cabinet du premier ministre Jean Charest, Stéphane Bertrand.ouvrir
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Politique de gouvernance des sociétés d’État – Les nominations partisanes continueront
Le gouvernement Charest continuera à procéder à des nominations politiques au sein des conseils d’administration des sociétés d’État […]
Des amis du régime pourront donc être nommés à ces conseils […].
[…] L’énoncé de politique débouchera sur un projet de loi qui s’appliquera à six sociétés d’État à caractère financier et commercial, soit Hydro Québec […] […] Aussi, le gouvernement se réserve le pouvoir de donner des directives à toutes les sociétés d’État afin d’influer sur leurs orientations et leurs pratiques si besoin est […]ouvrir
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Remue-ménage chez Hydro
Cinq nouveaux membres font leur entrée au conseil d’administration
C’est le temps des nominations chez Hydro-Québec. Après avoir prolongé le contrat du pdg Thierry Vandal pour cinq ans, le gouvernement Charest vient de nommer cinq nouveaux membres à son conseil d’administration. La société d’État compte maintenant 17 membres actifs au sein de son c.a. Parmi les nouveaux visages, le maire de Laval, Gilles Vaillancourt, fait son entrée à la table de la plus importante société d’État québécoise. (…) À l’instar du pdg d’Hydro-Québec, Thierry Vandal, qui a déjà agi à titre de président de la commission politique sous Robert Bourassa, les nouveaux venus ne sont d’ailleurs pas étrangers à la famille libérale. Un coup d’oeil rapide au registre du Directeur général des élections (DGE) sur les donateurs aux partis politiques montre que certains de ces nouveaux administrateurs de la société d’État et leurs proches ont été de fidèles donateurs au Parti libéral du Québec (PLQ) ces dernières années.
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Une place de choix pour des donateurs du PLQ
[…] les trois quarts des personnes nommées au conseil d’administration de grandes sociétés d’État depuis sept ans ont contribué à la caisse du PLQ, démontre une enquête de La Presse.Le croisement des renseignements tirés des sites internet du premier ministre Jean Charest et du Directeur général des élections a donné des résultats surprenants. Dans un cas, jusqu’à 85% des personnes nommées à un CA ont déjà contribué à la caisse du PLQ.
Hydro-Québec: jusqu’à 18 des 21 personnes nommées au conseil d’administration par le gouvernement Charest ont cotisé à la caisse du PLQ depuis 2000, soit 85%.
Jacques Bourgault, professeur à l’UQAM et spécialiste reconnu en matière de système de haute fonction publique et de dirigeants des sociétés d’État […] ensuite, ces «bonnes» personnes ne font pas obstacle aux décisions, aux projets et aux politiques du gouvernement. Elles peuvent aussi faciliter le choix des «bons sous-traitants» et l’embauche de «bons employés».
Denis Saint-Martin juge très sévèrement le système des nominations politiques au Québec (…) «On se croirait au XVIIIe siècle, dans une monarchie absolue, à un âge prédémocratique.» Selon lui, Jean Charest a raté une belle occasion, avec l’affaire Marc Bellemare, de «réformer le processus de nomination aux emplois supérieurs de l’État».
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PLQ : Plus de 500 nominations partisanes
[…] Les années de pouvoir libéral ont permis au cabinet de Jean Charest de procéder à 523 nominations partisanes dans les ministères et organismes du gouvernement.[…] les 523 cas répertoriés ne représentent que les nominations effectuées par le Conseil des ministres. Car d’autres «sélections» sont de nature plus administrative, […].ouvrir
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La haute fonction publique retourne au rouge
Il promettait en après-midi un gouvernement «transparent», mais en catimini, en soirée, Philippe Couillard a annoncé une purge importante chez les mandarins du gouvernement. Dès leur première réunion, les ministres libéraux ont repeint en rouge la haute fonction publique.
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L’an 1 de Couillard : un peu plus bas, un peu plus loin
[…] les nominations politiques qui se poursuivent avec toujours plus de désintérêt de la part des médias et du public et on se retrouvera bientôt avec un appareil étatique entièrement à la main du PLQ. Un ami qui évolue dans la fonction publique me disait récemment que c’est rendu rouge jusqu’à trois paliers en dessous des sous-ministres.